Simple & Double à Toulouse – Concert du 13 décembre 2014
Simple, double, set et match ! Les Passions à Toulouse !
Vient le match décisif, le « double » d’où sortirent vainqueur haut la main, l’archet et le souffle la flûte à bec de Jean-Marc Andrieu et la viole de gambe à six cordes d’Étienne Mangot.
C’est grande réjouissance et plaisir d’entendre comment s’enlacent, se répondent, les deux instruments dans le concerto de Telemann. (..) un grand moment de musique. Gil Pressnitzer, blog.culture31.com
Deux fois deux…
La flûte volubile, savamment ornée, de Jean-Marc Andrieu ponctue son déroulement d’échanges subtils avec les cordes, associant l’humour à la noblesse de l’expression.(…) Etienne Mangot domine avec aisance et finesse les acrobaties musicales accumulées par le compositeur, notamment dans l’Allegro initial. La belle cadence qui conclut ce triptyque ensoleillé est élégamment imaginée. lire l'article en entier… Serge Chauzy, classictoulouse.com
Clôture du Festival Baroque de Pontoise
L’In Convertendo de Rameau referme cet après-midi avec l’une des plus admirables synthèses entre inventivité et intelligence. On y apprécie le cisèlement des pupitres, fondu dans une battue généreuse et sensuelle, autant que précise. Alain Buet confirme ici une déclamation solide et bien projetée. Stéphanie Revidat lui répond par une ligne fluide et ample, qui magnifiait l’«Et ipse redimet» du Mondonville, et que l’on retrouve ici concertant avec le chœur dans le «Laudate nomen», avant un expressif trio où s’ajoute la voix de haute-contre. Le chœur final, «Euntes ibant et flebant», constitue enfin une merveille de contrepoint et d’expression, auquel la formation du Capitole rend pleinement justice.
Saluons à ce titre le remarquable travail réalisé par Jean-Marc Andrieu, en particulier sur la prononciation du latin à la française. Limpidité et puissance se conjuguent ici avec éclat, preuve que le baroque français sait, à sa manière, lever les barrières. Lire l'article en entier…
Gilles Charlassier, Concertonet.com
En clôture de la 29ème édition, l’ensemble Les Passions, au meilleur de leur forme, sous la direction de Jean-Marc Andrieu a offert au public venu nombreux dans la belle cathédrale Saint-Maclou qui couronne la ville, un programme de musique sacrée d’une haute tenue consacré aux Grands Motets versaillais de Jean-Philippe Rameau et de Jean-Joseph Cassanéa de Mondonville (…).
Les interprètes ont tous témoigné d’un engagement exceptionnel pour servir les partitions et transmettre la beauté de cette musique d’église. (…)
En ce dimanche, sous les voûtes de la cathédrale de Pontoise, la musique nous a comblés. Lire l'article en entier…
Marguerite Haladjian, musebaroque.fr